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Il ya 10 ans, le groupe Squaresoft initiait un cocktail explosif et audacieux, mais non moins risqué, de mélanger deux univers totalement opposé: celui du monde fantaisique de Final Fantasy que le groupe japonais avait créé à la féérie du monde de Disney. Et le risque en valait franchement la peine, Kingdom Hearts, premier du nom, s' est vendu à plus 5, 85 millions dans le monde, pour 1.20 en Europe, représentant ainsi 20,4% des ventes, seconds derrière les Etats-Unis qui en représente 64%. Depuis, Kingdom Hearts a grandi, fait des petits, et a mûri pour faire de la série, un monde déjà bien à part.
Je ne pensais pas retrouver un jour ce choque des cultures entre deux univers totalement opposés, tant sur un plan ficitif que sur un plan réel. L' extrême Orient, l' extrême Occident, tous deux ont une culture, une moral, une apporche de la vie si différente que l' amalgame de ces deux mondes sont quasi-improbable. Et pourtant, de plus en plus, les deux fusionnent, et c' est notamment le cas au cinéma, citons"Aniki mon frère" de Kitano par exemple, ou Ring 2, parmi tant d 'autre. Mais cette fois-ci, ca n' est ni au cinéma, ni au jeu video dont je vais faire référence, mais dans le domaine de la BD cette fois, avec ce bouquin non moins surprenant et tout aussi audacieux. Princesse Kilala, c' est la confrontation des univers Disney à ceux de deux jeunes gens, amoureux de contes et de rêve. Par le biais d' un étrange pouvoir, ils sont propulsés dans les monde de Blanche Neige, Ariel, ou encore Cendrillon, où, comme c' est le cas dans Kingdom Hearts, ils devront affronter les grands méchants issus de Disney.
Je n' ai pas lu le manga, seulement feuilleté. N' étant plus vraiment sur le blog, je me suis par le même temps un peu détaché de Disney, tout en y restant passionné et curieux. Cette fois, la découverte a été un pur hasard et, alors que je cherchais un manga traîtant du café, je suis tombé sur deux surprise dont celle-ci, qui a été plus que cela d' ailleurs. Ma première réaction a été de me dire que le ridicule ne tuait pas. C' est vraiment ce que je me suis dit en regardant la couverture qui a plus l' air de vouloir touché un très jeune publique (ce qui est par ailleurs le cas !). J' investirais sans doute pour le découvrir plus en détail, à défaut d' un jugement puéril, en attendant, régalez vous avec ces photos de ce mystérieux manga tombé du ciel, qui relance le mélange Disney / japanim.
Disney-Fury
(sources stats: vgchartz.com)
